1
ils sont unis. Ils ont créé entre eux le « grand
marché commun
» qui est la condition nécessaire de toute existence autonome dans no
2
ils sont unis. Ils ont créé entre eux le « grand
marché commun
» qui est la condition nécessaire de toute existence autonome dans no
3
», de nature économique, visant à ouvrir un grand
marché commun
(plan de Messine) ou à permettre une production commune de l’énergie
4
e socialiste. Spaak en Belgique, avec son plan de
marché commun
, Guy Mollet au pouvoir en France, Jean Monnet et son Euratom ralliant
5
ù la nécessité, devenue bien évidente, d’un grand
Marché commun
et de l’Euratom, conditions à la fois de notre prospérité et de notre
6
cutent — et quelques-uns acceptent — le projet de
marché commun
. Les Anglais eux-mêmes se réchauffent, et leurs ministres les prépare
7
urope, et la doter d’un pouvoir politique et d’un
marché commun
, que si l’on surmonte les obstacles qui s’opposent à l’union immédiat
8
nt place nos deux séminaires de recherches sur le
Marché commun
et les loisirs — l’un terminé, l’autre en préparation — contribuant à
9
e enregistrer d’importants progrès vers l’union :
Marché commun
et Euratom ont d’assez fortes chances de succès dans nos différents p
10
r crainte de « l’Allemagne éternelle », contre le
Marché commun
par crainte de « la France colonialiste et mal organisée », contre l’
11
x pays font un pas de plus, et créent ensemble un
Marché commun
dont le but est de supprimer progressivement les douanes qui les sépa
12
jà à l’OECE, passe des accords avec le CECA et le
Marché commun
, et collabore à la création d’une zone européenne de libre-échange, e
13
En 1957, ces pays décident de créer entre eux un
Marché commun
. 5. La Suisse étant neutre ne peut adhérer aux alliances militaires
14
Par chance, on ne l’a pas attendu. La CECA et le
Marché commun
se contentent fort bien d’exister, même si Bevan persiste à les croir
15
e progrès dû à « l’idée européenne » (la CECA, le
Marché commun
, l’UEO et l’OECE) serait immédiatement sacrifié si l’Europe était déc
16
Haye, a produit le Conseil de l’Europe, CECA, le
Marché commun
et Euratom. Il serait plus qu’étrange qu’on puisse l’arrêter là. L’As
17
et crispé, un communiste français annonce que le
Marché commun
vient d’avoir pour premier effet la dévaluation du franc. On lui répo
18
créons des mécanismes irréversibles : la CECA, le
Marché commun
et l’Euratom ; et que les parlements les votent bien vite, sans trop
19
sistances sont alertées. Comment les vaincre ? Le
Marché commun
demande douze ans. Le monde les donnera-t-il à l’Europe assiégée ? 3.
20
ue européenne, couramment désignée sous le nom de
Marché commun
des Six. L’étude que nous présentons aujourd’hui vient donc très exac
21
nt à son heure. Elle succède à un court précis du
Marché commun
et de l’Euratom (par questions et réponses) que le CEC a fait paraîtr
22
u contraire dégager les implications générales du
Marché commun
dans la vie économique de nos pays, ainsi que les répercussions possi
23
t essai vise à situer l’aventure qu’est encore le
Marché commun
, dans la perspective générale d’une politique de civilisation — souci
24
du Centre européen de la culture : « Promesses du
Marché commun
», Genève, n° 6, décembre 1957, p. 1.
25
ontières étouffantes, et créent ensemble un grand
marché commun
; et enfin, et surtout, qu’on décide d’instituer un système (dont le
26
mentation et publication de deux brochures sur le
Marché commun
. — Mise en train de films documentaires sur l’Europe. Regard en ar
27
se trouve notoirement modifiée par l’ouverture du
Marché commun
des Six. Certes, le Marché commun n’est qu’un ensemble de mesures éco
28
l’ouverture du Marché commun des Six. Certes, le
Marché commun
n’est qu’un ensemble de mesures économiques. Et certes, il ne concern
29
ais la seule annonce de la mise en application du
Marché commun
a suffi pour alerter l’opinion, et pour obliger de larges catégories
30
industrielle) en plein essor, où les problèmes du
Marché commun
vont se poser d’une manière très concrète. Exécution. Le CEC a initi
31
régionales et l’Europe fédérée (en particulier le
Marché commun
). Exécution. L’action a été lancée à l’occasion d’un congrès de deux
32
éditions ultérieures en anglais et en allemand).
Marché commun
et Euratom. — Questions et réponses. Promesses du Marché commun (div
33
t Euratom. — Questions et réponses. Promesses du
Marché commun
(diverses traductions en cours). Le succès du numéro L’Europe s’inscr
34
ou qui vont en être tirés. De même, Promesses du
Marché commun
a été le seul ouvrage sur le sujet à paraître au moment précis où s’o
35
sujet à paraître au moment précis où s’ouvrait le
Marché commun
. La critique internationale et les instances officielles ont été unan
36
ières années : la méthode institutionnelle (CECA,
Marché commun
, Euratom, assemblée commune) ; la tactique de pression politique (mou
37
le, mais cela prendra toute une génération. 2. Le
Marché commun
prévoit douze à dix-sept ans pour s’établir dans six pays seulement.
38
nous ne pourrons opposer à temps ni le succès du
Marché commun
dans douze ans, ni le succès d’une éducation civique européenne dans
39
e la dénaturer. On voudrait y mettre à la fois le
Marché commun
et l’Université européenne, les députés et les physiciens nucléaires,
40
re ; mais leur échec serait bientôt mortel. Or le
Marché commun
des Six, la zone de libre-échange des Dix-Sept, et leur future intégr
41
ndiale. 18. Voir en particulier : Promesses du
Marché commun
par Raymond Racine, directeur des séminaires du CEC ; Marché commun
42
aymond Racine, directeur des séminaires du CEC ;
Marché commun
et Euratom , et L’Europe s’inscrit dans les faits , publications du
43
second dans le n° 1 de la Revue internationale du
Marché commun
, en avril 1958. Conçus pour des publics bien différents, de propos ta
44
ialisées — mais presque rien au plan européen. Le
Marché commun
de la culture, qui existe en fait depuis des siècles en Europe (et qu
45
s d’un mécénat européen L’Europe unie, dont le
Marché commun
, le Conseil de l’Europe, la CECA et l’Euratom tentent de construire l
46
l’union partielle des six pays qui ont initié le
Marché commun
. Ceux qui reprochent aux auteurs du traité de Rome d’avoir voulu « li
47
a fin du processus exactement inverse de celui du
Marché commun
[dont] Fichte se fait l’avocat : Toute la monnaie mondiale se trouva
48
is plus tard. Les principes directeurs d’un grand
marché commun
, axé sur la fusion des intérêts franco-germaniques, sont formulées da
49
ncore gagné. Mais en demandant son accession à ce
Marché commun
qu’elle affecta longtemps de traiter d’utopie, la Grande-Bretagne a d
50
est d’un processus exactement inverse de celui du
Marché commun
que Fichte se fait l’avocat : Toute la monnaie mondiale se trouvant
51
stitutionnaliste du xxe siècle, qui a produit le
Marché commun
et l’OCDE. Qu’on en juge : Le traité de Westphalie établit un nouvel
52
zsche va plus loin : il prévoit la nécessité d’un
Marché commun
européen : « Au-delà de toutes ces guerres nationales, de ces « empir
53
uropéenne du charbon et de l’acier, fondée sur un
marché commun
, des objectifs communs et des institutions communes. Le préambule du
54
internationaux… En fait, le Traité instituant le
Marché commun
est moins « supranational » dans son esprit que le Traité instituant
55
ait qu’elle est faite. La candidature anglaise au
Marché commun
les a subitement alertés. Le Marché commun, c’est la création de Jean
56
ise au Marché commun les a subitement alertés. Le
Marché commun
, c’est la création de Jean Monnet, pensent-ils en simplifiant un peu.
57
Monnet, pensent-ils en simplifiant un peu. Or le
Marché commun
fonctionne, puisque la Grande-Bretagne, après l’avoir traité par le m
58
ion. Une confiance nouvelle, née des promesses du
Marché commun
et de ses premiers succès, permet de multiplier les ententes industri
59
e son union. Et que, de leur union naissante — le
Marché commun
n’a que deux ans — a résulté presque aussitôt une prospérité stupéfia
60
On parle beaucoup, ces jours-ci du danger que le
Marché commun
représenterait pour notre Suisse fédéraliste. Mais ce n’est pas le fa
61
ce qui se produit maintenant avec l’ouverture du
Marché commun
— et ce n’est qu’un petit début — c’est une ouverture de tous les pay
62
s avant tout l’Europe économique, c’est-à-dire le
Marché commun
? Le traité de Rome, les Six, les accords agricoles, la candidature b
63
e : 1° que l’Europe unie est beaucoup plus que le
Marché commun
, moyen nécessaire mais non pas suffisant ; 2° que le Marché commun se
64
yen nécessaire mais non pas suffisant ; 2° que le
Marché commun
serait impensable (et au surplus n’aurait jamais vu le jour) s’il ne
65
s belles réalisations économiques de l’OCDE et du
Marché commun
resteront pauvres de substance humaine, mal intégrées à la manière de
66
ui, et cela dans tous nos pays, qu’il s’agisse du
Marché commun
des Six, ou de l’économie des pays neutres. Quant à la presse, enfin,
67
se multiplient sur nos relations futures avec le
Marché commun
, on croirait que l’union de l’Europe se réduit à des problèmes de tar
68
CA de Jean Monnet et Robert Schuman, puis avec le
Marché commun
des Six, provoquant en écho la Zone de libre-échange des Sept, la can
69
utes les nations du continent s’intègrent dans le
Marché commun
, c’est-à-dire dans un plan technique et économique, dont les auteurs
70
sions suivantes me paraissent en découler : 1. Le
Marché commun
doit englober toutes les nations qui participent à l’unité de culture
71
mortel des nationalismes autarciques au succès du
Marché commun
, qui gage matériellement la réconciliation franco-allemande ; de l’al
72
l’échec des négociations entre les Anglais et le
Marché commun
, par le succès des thèses gaullistes, et par la carence des mouvement
73
ui, et cela dans tous nos pays, qu’il s’agisse du
Marché commun
des Six, ou de l’économie des pays neutres. Quant à la presse enfin,
74
on minimaliste. L’autre, qui est en gros celle du
Marché commun
, voudrait unifier les nations sur la base d’une totale intégration éc
75
e, de Saint-Simon et Bentham, vers 1800, jusqu’au
Marché commun
de nos jours. Le thème de la menace étrangère, ou de la défense commu
76
urd’hui à inviter les Soviétiques à se joindre au
Marché commun
, voire à l’OTAN ; 2° mettre fin à la guerre des religions, car toutes
77
ionaux ». Saint-Simon est le véritable ancêtre du
Marché commun
, en ceci que, pour lui, l’union doit naître de la « force coactive »
78
le viendront s’ajouter, dès 1957, l’Euratom et le
Marché commun
, aujourd’hui en pleine expansion. La commission culturelle, enfin, av
79
ait qu’elle est faite. La candidature anglaise au
Marché commun
les a subitement alertés. Le Marché commun, c’est la création de Jean
80
ise au Marché commun les a subitement alertés. Le
Marché commun
, c’est la création de Jean Monnet, pensent-ils en simplifiant un peu.
81
Monnet, pensent-ils en simplifiant un peu. Or le
Marché commun
fonctionne puisque la Grande-Bretagne, après l’avoir traité par le mé
82
ion. Une confiance nouvelle, née des promesses du
Marché commun
et de ses premiers succès, permet de multiplier les ententes industri
83
e son union. Et que, de leur union naissante — le
Marché commun
n’a que deux ans — a résulté presque aussitôt une prospérité stupéfia
84
ardentes curiosités sur l’union de l’Europe et le
Marché commun
que l’Amérique découvre subitement, et déjà elle croit que c’est fait
85
que de la construction européenne, de la CECA, du
Marché commun
, etc., et d’exprimer au sujet des actions en cours son appréciation p
86
d’Europe, ni de plans d’union de l’Europe, ni de
Marché commun
, ni donc de prétexte et d’objet pour cette littérature « d’actualité
87
rement politiques, qui étaient la cause finale du
Marché commun
dans l’esprit de ses promoteurs. Tous les gaullistes se sont posés en
88
s’affrontaient à Bruxelles. L’une voulait que le
Marché commun
soit l’amorce d’une union politique, condition d’une autonomie de l’E
89
l’Europe au plan mondial. L’autre voulait que le
Marché commun
, à mi-chemin de son évolution, s’ouvre sur une union économique étend
90
enri Spaak déclarait : « Si l’Angleterre entre au
Marché commun
, nous devons renoncer à l’Europe supranationale. » Or, dit-il aujourd
91
ateur à des professionnels de l’improvisation. Le
Marché commun
, par lui-même, ne conduit pas nécessairement à une Europe fédérée. La
92
Malgré tout, je suis favorable à l’entrée dans le
Marché commun
, pour des raisons économiques, et aussi politiques. Je garde quelque
93
qui n’a pas su prévoir Hitler, et qui trouvait le
Marché commun
trop technique pour être sérieux. Philosophie des buts et science de
94
partout, au même prix et en francs européens. Ce
marché commun
de 400 millions de producteurs et de consommateurs est de loin le plu
95
sion économique, prolongement de la commission du
Marché commun
. Le ministre des Relations culturelles et le ministre de la Recherche
96
a critique ou à l’enthousiasme. 8. L’existence du
Marché commun
est un facteur irréversible dans l’évolution vers l’union. Les polémi
97
se et l’Europe, représentée pour l’instant par le
Marché commun
. D’une part, on affirme une souveraineté globale, qui ne laisserait p
98
On parle beaucoup, ces jours-ci, du danger que le
Marché commun
représenterait pour notre Suisse fédéraliste. Mais ce n’est pas le fa
99
se et l’Europe, représentée pour l’instant par le
Marché commun
. D’une part, on affirme une souveraineté globale, qui ne laisserait j
100
mme on sait au domaine économique, CECA dès 1953,
Marché commun
et Euratom dès 1959. Les États, les services ministériels et les parl
101
nos pays, ne fût-ce que par la seule existence du
Marché commun
. Telle est donc la question européenne. Formulée tout d’abord par des
102
lités économiques déjà créées ou modifiées par le
Marché commun
. D’autre part, elle se fonde sur une certaine idée de la souveraineté
103
tégration déjà réalisée au plan économique par le
Marché commun
? Voilà qui paraît difficile. En effet, le traité de Rome n’évoque au
104
urinationales fonctionnant en Europe, la CECA, le
Marché commun
, l’AELE, etc. Il étudiera donc des exemples précis d’évolution des st
105
Haye, a produit le Conseil de l’Europe, CECA, le
Marché commun
et Euratom. Il serait plus qu’étrange qu’on puisse l’arrêter là. L’As
106
névrotique. Et quant à ceux qui déclarent que le
Marché commun
vise en réalité à ce type d’unité, ils ignorent visiblement les proce
107
tée d’une Communauté de défense, puis réussite du
Marché commun
des Six et réplique des Sept de l’AELE, essor de l’économie européenn
108
use de l’adjectif. Notre demande d’association au
Marché commun
prit pour certains une allure de Canossa sans agenouillement, donc sa
109
ie de l’essence de la Confédération ». Adhérer au
Marché commun
économique en refusant son « prolongement politique » — pour rester n
110
ion de la Suisse à une Europe unie, et d’abord au
Marché commun
, n’entraînerait aucune violation de la Constitution actuelle. Si, dit
111
la Suisse se refuse à entrer sans réserve dans le
Marché commun
, elle ne saurait justifier ce refus par des motifs juridiques et des
112
c le monde au-delà de l’Europe. En s’associant au
Marché commun
, par exemple, elle perdrait de nombreux avantages, bancaires notammen
113
riculture serait gravement menacée. L’adhésion au
Marché commun
ne serait donc pas payante. Réponse : La Suisse est située au cœur d
114
yante. Réponse : La Suisse est située au cœur du
Marché commun
. Ce n’est évidemment pas avec le reste du monde (sans cesse invoqué p
115
sent pas à justifier notre refus de participer au
Marché commun
, ni d’ailleurs notre participation à l’AELE. La Suisse est si peu ind
116
ands, Espagnols, Grecs et Turcs). Ce n’est pas le
Marché commun
qui les amène. C’est l’expansion de l’industrie suisse, aux destinées
117
d’en conclure qu’il faut refuser de rejoindre le
Marché commun
, mais il a le devoir de freiner l’expansion de l’industrie suisse, ca
118
a doublé. Mais que la Suisse entre ou non dans le
Marché commun
n’y changera rien. (À moins que notre isolement n’entraîne un retour
119
ropéologie. Certes, l’on étudie un peu partout le
Marché commun
, le mécanisme des organisations européennes, leur histoire récente, l
120
ommence par l’organisation : Conseil de l’Europe,
Marché commun
. Mais elle ne deviendra vivante que par les citoyens qui la vivront,
121
ropéologie. Certes, l’on étudie un peu partout le
Marché commun
, le mécanisme des organisations européennes, leur histoire récente, l
122
tée d’une communauté de défense, puis réussite du
Marché commun
des Six et réplique des Sept de l’AELE, essor de l’économie européenn
123
use de l’adjectif. Notre demande d’association au
Marché commun
prit pour certains une allure de Canossa sans agenouillement, donc sa
124
c le monde au-delà de l’Europe. En s’associant au
Marché commun
, par exemple, elle perdrait de nombreux avantages, bancaires notammen
125
riculture serait gravement menacée. L’adhésion au
Marché commun
ne serait donc pas payante. Arguments traditionalistes. — Des représ
126
fédération » (prof. Henri Miéville16). Adhérer au
Marché commun
économique en refusant son « prolongement politique » — pour rester n
127
la Suisse se refuse à entrer sans réserve dans le
Marché commun
, elle ne saurait justifier ce refus par des motifs juridiques et des
128
ts économiques. — La Suisse est située au cœur du
Marché commun
. Ce n’est évidemment pas avec le reste du monde (sans cesse invoqué p
129
sent pas à justifier notre refus de participer au
Marché commun
, et encore moins notre participation à l’AELE ! La Suisse est si peu
130
en France, 8 en Allemagne.) Mais ce n’est pas le
Marché commun
qui les amène. C’est l’expansion de l’industrie suisse, aux destinées
131
ys, il n’a pas le droit d’en conclure au refus du
Marché commun
, mais il a le devoir de freiner l’expansion de l’industrie suisse, ca
132
a doublé. Mais que la Suisse entre ou non dans le
Marché commun
n’y changera rien. (À moins que notre isolement n’entraîne un retour
133
cela conduisit à la création de la CECA, puis du
Marché commun
et de l’Euratom, enfin de l’AELE par contrecoup, et d’un nombre sans
134
spond à rien de réel en Europe. À supposer que le
Marché commun
ait jamais eu cette intention délibérée qu’on lui prête vraiment sans
135
s le sont déjà, progressivement, entre les Six du
Marché commun
), les régions se verront immédiatement revalorisées ; et alors le jeu
136
société occidentale. Ah certes ! ce n’est pas le
Marché commun
qui aura jamais un tel pouvoir sur nos désirs, nos imaginations et no
137
en confédération pour créer une nation, voire un
marché commun
toujours plus large ; mais ses motifs et sa nécessité sont évidents d
138
date de la demande d’association de la Suisse au
Marché commun
, s’interroger sur l’avenir suisse est devenu notre sport national, et
139
soucieux, mais rien ne prouve que ça va durer. Le
Marché commun
nous menace. Notre neutralité n’est pas toujours comprise. Notre fédé
140
ceux — nombreux en Suisse — qui déclarent que le
Marché commun
vise en réalité à ce type d’unité, c’est qu’ils ignorent visiblement
141
tée d’une Communauté de Défense, puis réussite du
Marché commun
des Six et réplique des Sept de l’AELE, essor de l’économie européenn
142
use de l’adjectif. Notre demande d’association au
Marché commun
prit pour certains une allure de Canossa sans agenouillement, donc sa
143
ter le second terme au nom du premier. Adhérer au
Marché commun
économique en refusant son « prolongement politique » — pour rester n
144
ion de la Suisse à une Europe unie, et d’abord au
Marché commun
, n’entraînerait aucune violation de la Constitution actuelle. Si, dit
145
la Suisse se refuse à entrer sans réserve dans le
Marché commun
, elle ne saurait justifier ce refus par des motifs juridiques et des
146
c le monde au-delà de l’Europe. En s’associant au
Marché commun
, par exemple, elle perdrait de nombreux avantages, bancaires notammen
147
riculture serait gravement menacée. L’adhésion au
Marché commun
ne serait donc pas payante. Réponse : La Suisse est située au cœur d
148
yante. Réponse : La Suisse est située au cœur du
Marché commun
. Ce n’est évidemment pas avec le reste du monde (sans cesse invoqué p
149
sent pas à justifier notre refus de participer au
Marché commun
, ni d’ailleurs notre participation à l’AELE. La Suisse est si peu ind
150
ravailleurs étrangers en Suisse : ce n’est pas le
Marché commun
qui les amène, c’est l’expansion de l’industrie suisse, aux destinées
151
d’en conclure qu’il faut refuser de rejoindre le
Marché commun
, mais il a le devoir de freiner l’expansion de l’industrie suisse, ca
152
a doublé. Mais que la Suisse entre ou non dans le
Marché commun
n’y changera rien. (À moins que notre isolement n’entraîne un retour
153
ent du Conseil de l’Europe, mais de la CECA et du
Marché commun
. (Le terme même de « Marché commun » figure là pour la première fois
154
la CECA et du Marché commun. (Le terme même de «
Marché commun
» figure là pour la première fois : il est donc dû non pas à un polit
155
d’un côté, français de l’autre. La CECA, puis le
Marché commun
ont permis de surmonter cette absurdité manifeste, et plusieurs autre
156
ressenti et déclaré, et qui a donné naissance au
Marché commun
notamment, enfin par l’existence d’un problème chaque année plus aigu
157
oin… Ce sont ces nécessités qui expliquent que le
Marché commun
ait cru devoir convoquer en 1961 le très important colloque de Bruxel
158
s un coin de l’Hexagone85. Mais dans l’optique du
Marché commun
de demain tout change : effacée la frontière qui depuis cent-cinquant
159
urelles, techniques ; les principes généraux d’un
Marché commun
; mais aussi : le refus de doter ces institutions d’un pouvoir de déc
160
la Haute Autorité de Luxembourg, en attendant le
Marché commun
; les culturels avaient le Centre de Genève et par lui ou autour de l
161
ement mais isolément efficace de la CECA, puis du
Marché commun
. Certaines satisfactions partielles et à court terme coupent mieux l’
162
ressenti et déclaré, et qui a donné naissance au
Marché commun
notamment, enfin par l’existence d’un problème chaque année plus aigu
163
oin… Ce sont ces nécessités qui expliquent que le
Marché commun
ait cru devoir convoquer le très important colloque de Bruxelles sur
164
s un coin de l’Hexagone33. Mais dans l’optique du
Marché commun
de demain, tout change : effacée la frontière qui depuis cent-cinquan
165
tion d’une entrée éventuelle de la Suisse dans le
Marché commun
, j’entends répéter qu’elle y perdrait sa souveraineté, qu’elle s’y pe
166
es formes et dans quels domaines bien définis. Le
Marché commun
, par exemple, qui est un pouvoir économique, doit-il entretenir des v
167
régions carrefours ». 52. Il est certain que le
Marché commun
ne cessera d’être menacé par les États-nations tant que ceux-ci n’aur
168
es formes et dans quels domaines bien définis. Le
Marché commun
, par exemple, qui est un pouvoir économique, doit-il entretenir des v
169
régions carrefours ». 99. Il est certain que le
Marché commun
ne cessera d’être menacé par les États-nations tant que ceux-ci n’aur
170
tinentale qui créent le Conseil de l’Europe et le
Marché commun
, puis leurs contreparties plus ou moins réussies dans l’empire commun
171
tinentale qui créent le Conseil de l’Europe et le
Marché commun
, puis leurs contreparties plus ou moins réussies dans l’empire commun
172
e commerciale positive !) De fait, l’ouverture du
Marché commun
n’a nullement déclenché un raz de marée de main-d’œuvre italienne en
173
Des enquêtes récentes, réalisées dans les pays du
Marché commun
et en Angleterre, ont montré que le 65 % des gens est pour une fédéra
174
jour où la Suisse se préparait à discuter avec le
Marché commun
. Ce hasard marquera-t-il la fin d’une certaine Europe, le début d’une
175
ment appréciez-vous une entreprise comme celle du
Marché commun
et les efforts d’intégration politique, financière, économique, qui s
176
ique, financière, économique, qui sont faits ? Le
Marché commun
, à mes yeux, est une première agence fédérale du type que je voudrais
177
rront avoir leur siège n’importe où en Europe. Le
Marché commun
est implanté à Bruxelles. Mais je vois très bien d’autres agences féd
179
urs politiques. 65 % de la population des pays du
Marché commun
est favorable aux États-Unis d’Europe, et 75 % de ces Européens sont
180
ropéologie. Certes, l’on étudie un peu partout le
Marché commun
, le mécanisme des organisations européennes, leur histoire récente, l
181
ialisées — mais presque rien au plan européen. Le
Marché commun
de la culture, qui existe en fait depuis des siècles en Europe (et qu
182
s d’un mécénat européen L’Europe unie, dont le
Marché commun
et le Conseil de l’Europe tentent de construire les premiers cadres,
183
éens a précédé de plusieurs années l’ouverture du
Marché commun
. Elle a des buts analogues : substituer la coopération aux rivalités
184
défense. L’union économique mise sur pied par le
Marché commun
ne concerne que six pays sur les vingt-cinq qui constituent l’Europe
185
le viendront s’ajouter, dès 1957, l’Euratom et le
Marché commun
, aujourd’hui en pleine expansion. La commission culturelle, enfin, av
186
tinentale qui créent le Conseil de l’Europe et le
Marché commun
, puis leurs contreparties plus ou moins réussies dans l’empire commun
187
ressenti et déclaré, et qui a donné naissance au
Marché commun
notamment, enfin par l’existence d’un problème chaque année plus aigu
188
oin… Ce sont ces nécessités qui expliquent que le
Marché commun
ait cru devoir convoquer en 1961 le très important colloque de Bruxel
189
ans un coin de l’hexagone. Mais dans l’optique du
Marché commun
de demain, tout change : effacée la frontière qui depuis cent-cinquan
190
es formes et dans quels domaines bien définis. Le
Marché commun
, par exemple, qui est un pouvoir économique, doit-il entretenir des v
191
mule de l’exécutif suisse ? Il est certain que le
Marché commun
ne cessera d’être menacé par les États-nations, tant que ceux-ci n’au
192
et l’une par l’autre : 1. Réaliser pleinement le
Marché commun
, qui n’est encore que virtuel en bonne partie ; l’élargir à tout le c
193
urs de telles phrases n’ont rien compris, même au
Marché commun
. Car s’ils estiment que la « conquête » du marché européen par la Gra
194
t pas en même temps les nôtres, pourquoi faire un
marché commun
? Ainsi l’erreur la plus courante qui exaspère les débats sur l’Europ
195
tinentale qui créent le Conseil de l’Europe et le
Marché commun
, puis leurs contreparties plus ou moins réussies dans l’empire commun
196
ous ceux qui bâtissaient l’Europe, économistes du
Marché commun
, hommes politiques, universitaires, je crois vraiment que l’action du
197
ction concertée dans le domaine économique (CECA,
Marché commun
) indiquent la voie. Le seul remède aux trop petites dimensions ne ser
198
motivé les premières études régionales au sein du
Marché commun
(1961) et ont abouti à la création d’une Direction générale de la pol
199
ui bat son plein à propos de notre entrée dans le
Marché commun
, de nous laisser entraîner sur un terrain qui n’est pas le nôtre, dan
200
t d’une de ces agences fédérales européennes : le
Marché commun
, à condition que celui-ci reste dans ses compétences qui sont essenti
201
rt de l’Europe comme entité. L’échec définitif du
Marché commun
des Six par suite du refus opposé par les États-nations à toute forme
202
e Direction générale de la politique régionale au
Marché commun
, bagarres entre Wallons et Flamands, rejet du référendum de 1969 en F
203
ction concertée dans le domaine économique (CECA,
Marché commun
) indiquent la voie. D’autre part, l’État-nation de type centralisé, q
204
motivé les premières études régionales au sein du
Marché commun
, dès 1961, et ont abouti à la création d’une Direction générale de la
205
nisation correspondant au plan Marshall), puis le
Marché commun
, l’Euratom, le CERN ont pourvu au plus urgent. Ces organismes ont ouv
206
ous les derniers sondages opérés dans les pays du
Marché commun
ont prouvé que 65 % des Européens dans leur ensemble souhaitent l’uni
207
motivé les premières études régionales au sein du
Marché commun
(1961) et ont abouti à la création à Bruxelles d’une Direction généra
208
s de dimensions continentales, ou encore comme le
Marché commun
à Bruxelles s’occupe de coordonner les activités économiques des pays
209
e, qui ne peuvent être résolus d’un seul côté. Le
Marché commun
en 1960-1961 a commencé à étudier la question régionale ; il a dressé
210
: on fera 21 régions, ou 9 comme le proposait le
Marché commun
. Avons-nous intérêt en France à faire des régions assez vastes de « t
211
us les cas, et on dit par exemple à l’encontre du
Marché commun
: « qu’est-ce que le Marché commun réussit à faire sinon à créer un e
212
l’encontre du Marché commun : « qu’est-ce que le
Marché commun
réussit à faire sinon à créer un espace pour les multinationales ? »
213
Parlement européen, le Conseil de l’Europe et le
Marché commun
. Européen d’origine suisse et plus précisément neuchâteloise, Denis d
214
us voulaient croire que la naissance prochaine du
Marché commun
ne manquerait pas de déclencher une série de processus politiques néc
215
date de la demande d’association de la Suisse au
Marché commun
, s’interroger sur l’avenir suisse est devenu notre sport national, et
216
soucieux, mais rien ne prouve que ça va durer. Le
Marché commun
nous menace. Notre neutralité n’est pas toujours comprise. Notre fédé
217
urrait que l’entrée de la Grande-Bretagne dans le
Marché commun
— et par voie de conséquence dans l’Euratom — relance les activités e
218
compétence » (Discours du 11 septembre 1952). Le
Marché commun
n’était encore que le rêve secret de quelques économistes comme Pierr
219
il en faudrait 25, comme l’actuelle commission du
Marché commun
, à Bruxelles, compte autant de commissaires que de pays membres. Cett
220
éens a précédé de plusieurs années l’ouverture du
Marché commun
. Elle a des buts analogues : substituer la coopération aux rivalités
221
es congrès demeurent sans contredit la CECA et le
Marché commun
. La Communauté européenne du charbon et de l’acier, 1950 Lorsqu
222
ique ; ils reconnaissent que la constitution d’un
Marché commun
européen est l’objectif de leur action dans le domaine de la politiqu
223
Six paraphent le texte des traités instituant le
Marché commun
et Euratom. Ces deux organismes, avec la CECA déjà installée à Luxemb
224
s États. Étonnante anticipation sur la formule du
Marché commun
, qui naîtra vingt-cinq ans plus tard, mais aussi sur les limitations
225
mique est celui qui donnera lieu à l’ouverture du
Marché commun
dès 1957. Le troisième motif, celui de la défense des libertés et des
226
derniers droits de douane entre les neuf pays du
Marché commun
s’est effectuée le 1er juillet 1977, dans l’inattention générale : c’
227
es Neuf », qu’on l’appelle par son nom : c’est un
Marché commun
partiel. S’il s’agit de l’Europe des États plus ou moins « unis » ou
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derniers droits de douane entre les neuf pays du
Marché commun
s’est effectuée le 1er juillet 1977, dans l’inattention générale. C’é
229
son nom : la Communauté économique européenne, ou
Marché commun
. Et qu’on essaie alors de montrer sérieusement soit les raisons de so
230
ogressive des frontières stato-nationales dans le
Marché commun
. (La première « Conférence sur les économies régionales » s’est tenue
231
a faveur des premiers accords (si prometteurs) du
Marché commun
, naissait la problématique des régions économiques de l’Europe des Si
232
sauf dans le domaine économique de neuf pays. Le
Marché commun
prétend faire l’Europe autour de l’économie, mais l’économie ne peut
233
oi, la régionalisation — n’ont été abordés par le
Marché commun
, ni par l’assemblée du Conseil de l’Europe qui n’a aucun pouvoir. Et
234
lidarités de fait », « institutions communes », «
marché commun
»33 — qu’on retrouvera dans tous les traités européens, des statuts d
235
II, lui, décrira l’intérieur du continent. 33. «
Marché commun
» est déjà proposé par Nietzsche dans un de ses Fragments posthumes.
236
ropéologie. Certes, l’on étudie un peu partout le
Marché commun
, le mécanisme des organisations européennes, leur histoire récente, l
237
derniers droits de douane entre les neuf pays du
Marché commun
s’est effectuée le 1er juillet 1977 dans l’inattention générale. C’ét
238
son nom : la Communauté économique européenne, ou
Marché commun
. Et qu’on essaie alors de montrer sérieusement soit les raisons de so
239
ome, 1957, portant l’institution progressive d’un
Marché commun
, qui se nomme aujourd’hui la Communauté européenne, mais qui en fait
240
rbon et de l’acier (CECA), jusqu’à 1979. Créer un
marché commun
, ce fut dans une première étape, abattre les frontières qui séparent
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exige cependant davantage que l’institution d’un
marché commun
. Elle nécessite la mise en œuvre de politiques communes aux neuf pays
242
’industrie européenne, disposant désormais d’un «
marché commun
intérieur » de 260 millions de consommateurs, a pu rationaliser ses p
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raîneraient l’unité politique des Européens. « Le
Marché commun
était un moyen, je dirais presque un truc, pour fabriquer de l’unité
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lement prévu dans le traité de Rome instituant le
Marché commun
; il n’est pas du tout fédéral, et ne peut fonctionner qu’à l’unanimi
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nomique (partielle) déjà réalisée par les Neuf du
Marché commun
, d’une part, et l’union politique de toute l’Europe, qui reste à fair
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air que l’Europe réelle ne peut être réduite à un
marché commun
, il est non moins clair que l’intégration économique du continent dép